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Exposition
en cours
Les chiens de l'Enfer
"Véronique Goglin est figurative (si l'on veut). Elle peint de manière obsessionnelle. Ses oeuvres prennent place au sein de séries. Leur signification est énigmatique mais leur caractère fantastique est évident. Ce travail est bizarre et prenant. Le caractère obsessionnel de la démarche provoque une étrangeté visuelle qu'il serait vain de vouloir orienter. "
Yves Michaud
(philosophe et directeur de l'école des Beaux-Arts de Paris de 1989 à 1997)
Les expos depuis 2013
La Gare accueille une dizaine de plasticiens par an: peintres, sculpteurs et photographes. La programmation est trimestrielle. Les vernissages sont la plupart du temps le samedi. Les horaires d’ouverture au public sont de 17h à 19h l'hiver et de 17h30 à 19h30 l'été... et sur rendez-vous pour les scolaires et pour les groupes (à partir de 5 personnes).

Trio d'hiver
3 belles artistes-artisanes.. 3 univers féminins, singuliers, délicats et colorés:
Astrid Desaché: artisane maroquinière, née en 1985 à Saumur (49), est installée en Gironde, à Langoiran près de Bordeaux.
Véro Marchand: céramiste plasticienne, née à Pantin (93) en 1967, est installée dans les Landes à Hastingues.
Joss Nouelle: Plasticienne textile, née en 1951 à Paris, est installée dans les Landes à Saint Paul en Born.
Elles sont belles, attachantes, talentueuses et si généreuses..
Elles sont nées ailleurs et la vie les a emmenées dans le sud ouest...
Elles ont en commun un fort attachement à la nature, à la terre, aux ciels, aux couleurs, aux textures et aux éléments.. elles contemplent... se nourrissent pour ensuite partager.
Elles créent pour arpenter leurs diagonales, pour répondre à leurs urgences et continuer à respirer, pour explorer leur rêves, repousser leurs frontières... et raconter leurs perceptions du monde!
Elles ont des communes appréhensions: manquer de temps, d'espaces, d'air, de lumière, d'eau..
Elles ont aussi en commun une remarquable exigence dans la réalisation de leurs pièces, de leurs œuvres. La belle maitrise de leurs talents et de leurs matières se retrouvent dans leurs créations et, j'en suis sûre, vous serez "ravis".. étonnés et émerveillés! Elles vont nous en faire voir de toutes leurs matières!
Astrid Desaché: artisane maroquinière, née en 1985 à Saumur (49), est installée en Gironde, à Langoiran près de Bordeaux.
Véro Marchand: céramiste plasticienne, née à Pantin (93) en 1967, est installée dans les Landes à Hastingues.
Joss Nouelle: Plasticienne textile, née en 1951 à Paris, est installée dans les Landes à Saint Paul en Born.
Elles sont belles, attachantes, talentueuses et si généreuses..
Elles sont nées ailleurs et la vie les a emmenées dans le sud ouest...
Elles ont en commun un fort attachement à la nature, à la terre, aux ciels, aux couleurs, aux textures et aux éléments.. elles contemplent... se nourrissent pour ensuite partager.
Elles créent pour arpenter leurs diagonales, pour répondre à leurs urgences et continuer à respirer, pour explorer leur rêves, repousser leurs frontières... et raconter leurs perceptions du monde!
Elles ont des communes appréhensions: manquer de temps, d'espaces, d'air, de lumière, d'eau..
Elles ont aussi en commun une remarquable exigence dans la réalisation de leurs pièces, de leurs œuvres. La belle maitrise de leurs talents et de leurs matières se retrouvent dans leurs créations et, j'en suis sûre, vous serez "ravis".. étonnés et émerveillés! Elles vont nous en faire voir de toutes leurs matières!

Conciliabules
Laure Grimonprez, peintre & Patrice Liron, sculpteur.
Ils ont en commun l'air de sortir du silence indigné de la Terre et de vouloir se dégourdir les pinceaux, les couleurs, les traits, les gouges, les couteaux, le burin pour nous en parler!
Quand des contemplatifs sont outrés, ils sont dans l'urgence de témoigner... cette urgence est leur moteur et leur talent la raconte.
L'un se sait châtaigner et l'autre libellule bleue... Ils abhorrent les uniformes et les centrales nucléaires et rêvent de nature protégée, d'herbe verte, d'eaux claires, d'animaux libres et heureux...
Dans les peintures de Laure on voit dans le geste ample et sûr et dans les couleurs offertes ce qu'elle proposent à l'émerveillement ou à l'exaspération... C'est une peinture directe, une éclaboussure.. qui "cousine" avec les fresques qui nous viennent du fond des âges ..
Dans les sculptures de Patrice on devine le corps à corps avec le bois et néanmoins sa belle connivence avec l'arbre.. Il a longtemps posé ses sculptures animalières ou humaines dans la nature!
Son talent évoque, là aussi, une filiation avec les arts premiers.. son geste est tendu, pur et vigoureux, déterminé.
Leurs œuvres se parlent, se répondent, s'interpellent... il y a assurément une belle connivence dans leurs communes hantises et la nécessité à en témoigner!
Passer un moment avec eux et avec leurs créations en conciliabules, nous "plonge" dans une énergie positive, tonique.. qui ramène à notre "essence" et au ciel!
Laure est née à Poitiers (86), elle vit et crée entre Bordeaux et Uzeste!
Patrice est né à Bayonne (64), il vit et crée à Saint Loubès (33)!
Ils ont en commun l'air de sortir du silence indigné de la Terre et de vouloir se dégourdir les pinceaux, les couleurs, les traits, les gouges, les couteaux, le burin pour nous en parler!
Quand des contemplatifs sont outrés, ils sont dans l'urgence de témoigner... cette urgence est leur moteur et leur talent la raconte.
L'un se sait châtaigner et l'autre libellule bleue... Ils abhorrent les uniformes et les centrales nucléaires et rêvent de nature protégée, d'herbe verte, d'eaux claires, d'animaux libres et heureux...
Dans les peintures de Laure on voit dans le geste ample et sûr et dans les couleurs offertes ce qu'elle proposent à l'émerveillement ou à l'exaspération... C'est une peinture directe, une éclaboussure.. qui "cousine" avec les fresques qui nous viennent du fond des âges ..
Dans les sculptures de Patrice on devine le corps à corps avec le bois et néanmoins sa belle connivence avec l'arbre.. Il a longtemps posé ses sculptures animalières ou humaines dans la nature!
Son talent évoque, là aussi, une filiation avec les arts premiers.. son geste est tendu, pur et vigoureux, déterminé.
Leurs œuvres se parlent, se répondent, s'interpellent... il y a assurément une belle connivence dans leurs communes hantises et la nécessité à en témoigner!
Passer un moment avec eux et avec leurs créations en conciliabules, nous "plonge" dans une énergie positive, tonique.. qui ramène à notre "essence" et au ciel!
Laure est née à Poitiers (86), elle vit et crée entre Bordeaux et Uzeste!
Patrice est né à Bayonne (64), il vit et crée à Saint Loubès (33)!

Le chameau a 3 bosses
La Gare de l’art accueille en résidence de deux artistes sculpteurs. L’un Landais, Olivier Louloum, résidant à Lüe (40) en France et l’autre Eduard Kazarian, résidant à Almaty au Kazakhstan.
La rencontre des deux artistes s’est faite à Almaty en 2016 lors du festival Artbast fest où Olivier Louloum réalisait une sculpture aqua-cinétique. Lors de cette manifestation Eduard kazarian l’invite à venir créer une sculpture cinétique dans son centre d’art à l’occasion du premier festival d’art cinétique du Kazakhstan en septembre 2018, projet soutenu par l’ambassade de France et l’alliance Française du Kazakhstan.
Olivier Louloum, artiste sculpteur : son œuvre est accès sur la taille directe sur bois mais aussi depuis une vingtaine d’années, sur la création d’installations mobiles souvent mises en mouvement par l’eau. Il a créé des œuvres en France sur le domaine public et privé mais aussi à l’étranger.
Eduard Kazarian, artiste international, considéré comme l’une des principaux sculpteurs du Kazakhstan et d’Asie centrale : son œuvre est accès sur la sculpture en bronze, la mosaïque, la sculpture en fer monumentale et cinétique.
La rencontre des deux artistes s’est faite à Almaty en 2016 lors du festival Artbast fest où Olivier Louloum réalisait une sculpture aqua-cinétique. Lors de cette manifestation Eduard kazarian l’invite à venir créer une sculpture cinétique dans son centre d’art à l’occasion du premier festival d’art cinétique du Kazakhstan en septembre 2018, projet soutenu par l’ambassade de France et l’alliance Française du Kazakhstan.
Olivier Louloum, artiste sculpteur : son œuvre est accès sur la taille directe sur bois mais aussi depuis une vingtaine d’années, sur la création d’installations mobiles souvent mises en mouvement par l’eau. Il a créé des œuvres en France sur le domaine public et privé mais aussi à l’étranger.
Eduard Kazarian, artiste international, considéré comme l’une des principaux sculpteurs du Kazakhstan et d’Asie centrale : son œuvre est accès sur la sculpture en bronze, la mosaïque, la sculpture en fer monumentale et cinétique.

Confluence
Mathilde L'Huillier, mosaïste, plasticienne
Elle est née à Mouzens (24) en 1966... et ses parents cèdent à leur passion de créateurs en 1967.
Autant dire qu'elle est née et a grandi dans ce "chaudron"... Après le Bac elle passe deux ans dans des écoles d'art qui ne lui conviennent pas.
Elle "prend son chemin" en 1985 et excelle partout où elle se pose un peu ou beaucoup! Son travail participe à des réalisations en mosaïque conçues pour de prestigieux bâtiments un peu partout sur la planète. En 2001 son chemin change de cap... il se trace vers des activités dédiées à la culture et à l'art autour de la céramique, de la mosaïque et du verre au sein de l'association Ceram'Archi.
2013 arrivée à Taller (40) où elle vit et travaille aujourd'hui.
Il y a chez Mathilde un peu du chercheur, du perfectionniste, de l'audacieux, du poète, du rêveur, tout cela métissé avec le goût du labeur, de la recherche et aussi du risque.. C'est un doux et singulier mélange d'état d'urgence, de transe et d'opiniâtreté à raconter... à dire, à partager ce qu'il y a de plus intime en elle d'interrogations, de blessures ou de joies et qu'elle ne saurait laisser échapper avec des mots... Son travail et ses œuvres parlent pour elle avec précision de sa passion pour les matières, les couleurs, la lumière et l'exigence qu'elle met à créer! Ses travaux de mosaïste et de céramiste se complètent et s'ajoutent.. Dans l'art du raku il y a la place laissée au hasard des effets du feu sur les formes et les matières... et dans la mosaïque s'invitent toute la précision et l'exigence du choix des couleurs et des petits carrés qu'il faut poser au bon endroit!
Elle est née à Mouzens (24) en 1966... et ses parents cèdent à leur passion de créateurs en 1967.
Autant dire qu'elle est née et a grandi dans ce "chaudron"... Après le Bac elle passe deux ans dans des écoles d'art qui ne lui conviennent pas.
Elle "prend son chemin" en 1985 et excelle partout où elle se pose un peu ou beaucoup! Son travail participe à des réalisations en mosaïque conçues pour de prestigieux bâtiments un peu partout sur la planète. En 2001 son chemin change de cap... il se trace vers des activités dédiées à la culture et à l'art autour de la céramique, de la mosaïque et du verre au sein de l'association Ceram'Archi.
2013 arrivée à Taller (40) où elle vit et travaille aujourd'hui.
Il y a chez Mathilde un peu du chercheur, du perfectionniste, de l'audacieux, du poète, du rêveur, tout cela métissé avec le goût du labeur, de la recherche et aussi du risque.. C'est un doux et singulier mélange d'état d'urgence, de transe et d'opiniâtreté à raconter... à dire, à partager ce qu'il y a de plus intime en elle d'interrogations, de blessures ou de joies et qu'elle ne saurait laisser échapper avec des mots... Son travail et ses œuvres parlent pour elle avec précision de sa passion pour les matières, les couleurs, la lumière et l'exigence qu'elle met à créer! Ses travaux de mosaïste et de céramiste se complètent et s'ajoutent.. Dans l'art du raku il y a la place laissée au hasard des effets du feu sur les formes et les matières... et dans la mosaïque s'invitent toute la précision et l'exigence du choix des couleurs et des petits carrés qu'il faut poser au bon endroit!

Gran
GRAN, né à Saint-Denis de la Réunion en 1973 d'un père auvergnat et d'une mère réunionnaise, est un artiste-peintre créole nourrit d'une double "mémoire". Alimenté de ce paradoxe, très tôt il se révèle être un humain pressé, hyperactif, doté d'une curiosité polymorphe, il est en état d'urgence.. d'exploration, de compréhension, et de transmission... Il y a chez lui quelque chose du griot africain.. mais lui se souvient, raconte et transmet graphiquement en peinture, en couleur... et à profusion.
Il est aussi "habité" et accompagné des mondes parallèles d'une spiritualité singulière faite de vaudou et de catéchisme mêlés! Ses toiles sont à la fois bavardes et énigmatiques. Elles révèlent comme un cœur à corps agressif et hurlé ou doux et susurré ... et quand la matière, la peinture, le trait , l'éclaboussure et les évènements ou personnes racontés sur des fonds extrêmement travaillés nous percutent ... on ne peut rester indifférents! Ses œuvres portent toutes un nom, nom qui raconte aussi! C'est un univers résolument contemporain à découvrir!
Autodidacte en dessin, peinture, sculpture et photographie, architecte d’intérieur, paysagiste et jardinier à l'anglaise, Stéphane Teulade dit Gran n'a pas aimé l'école, ni le collège ni le lycée... il a survolé tout cela...et c'est très tôt qu'il s'est exprimé par les arts plastiques, et la photo.. Il fût photographe sportif pour la presse quotidienne.. Au cours de ses pérégrinations, il a fait des rencontres importantes avec des plasticiens, des musiciens et des jardiniers... Il est aussi créateur de galerie d'art...
Gran est arrivé dans les Landes en 2017, il vit & travaille à Mimizan(40)
Il est aussi "habité" et accompagné des mondes parallèles d'une spiritualité singulière faite de vaudou et de catéchisme mêlés! Ses toiles sont à la fois bavardes et énigmatiques. Elles révèlent comme un cœur à corps agressif et hurlé ou doux et susurré ... et quand la matière, la peinture, le trait , l'éclaboussure et les évènements ou personnes racontés sur des fonds extrêmement travaillés nous percutent ... on ne peut rester indifférents! Ses œuvres portent toutes un nom, nom qui raconte aussi! C'est un univers résolument contemporain à découvrir!
Autodidacte en dessin, peinture, sculpture et photographie, architecte d’intérieur, paysagiste et jardinier à l'anglaise, Stéphane Teulade dit Gran n'a pas aimé l'école, ni le collège ni le lycée... il a survolé tout cela...et c'est très tôt qu'il s'est exprimé par les arts plastiques, et la photo.. Il fût photographe sportif pour la presse quotidienne.. Au cours de ses pérégrinations, il a fait des rencontres importantes avec des plasticiens, des musiciens et des jardiniers... Il est aussi créateur de galerie d'art...
Gran est arrivé dans les Landes en 2017, il vit & travaille à Mimizan(40)

SLEM
SLEM, alias Stéphane Levacher est né à Epinay-sur-Seine (93) en 1965, pas loin des Studios Eclair, dans une famille passionnée de cinéma. Très tôt, le cinéma, comme la lecture, sont pour lui une occasion de découvrir le monde, car il n'aime pas l'école.
À 17 ans, employé de banque, il fait de la photo sur son temps libre, crée un club vidéo et s’essaie à la réalisation. Ce sont de belles expériences et quelques erreurs, l'aventure s’arrête.
Sa pugnacité et un stage à l’école Louis Lumière le professionnalisent en vidéo et en photographie, mais il stagne, s'ennuie à la banque et rêve toujours.
1991,Il plaque tout, part en Nouvelle-Calédonie, se lance dans la pub pour la TV et le ciné.
En amitié avec des kanaks, il réalise qu'il participe au consumérisme abusif. Il arrêt.De etour en France ill intègre une agence d’intérim du spectacle et obtient un poste à Radio France.
Stoppé en 2003 par de gros ennuis de santé, Il reprendra ses activités cinq ans plus tard et rencontre Karin, sa compagne, qui vit en Gironde.
SLEM pose valises et caméra à Villandraut en 2009, puis à Cazalis en 2013. Retour à la vidéo, il travaille avec des artistes du sud ouest, tels Anne Gardey des Bois, Patrick Deletrez, Isabelle Loubère.
Désormais, son art ne se monnaie plus. C'est troc et échanges! Sa passion le porte, l’artiste se révèle enfin.
En 2018, c'est Lanas Encamina's. Ce libre hommage à la Lande d'Arnaudin, accompagné de la musique d’Anne Gardey des Bois, nous plonge dans la poésie de cette terre.
SLEM vit et travaille à Cazalis (33)
À 17 ans, employé de banque, il fait de la photo sur son temps libre, crée un club vidéo et s’essaie à la réalisation. Ce sont de belles expériences et quelques erreurs, l'aventure s’arrête.
Sa pugnacité et un stage à l’école Louis Lumière le professionnalisent en vidéo et en photographie, mais il stagne, s'ennuie à la banque et rêve toujours.
1991,Il plaque tout, part en Nouvelle-Calédonie, se lance dans la pub pour la TV et le ciné.
En amitié avec des kanaks, il réalise qu'il participe au consumérisme abusif. Il arrêt.De etour en France ill intègre une agence d’intérim du spectacle et obtient un poste à Radio France.
Stoppé en 2003 par de gros ennuis de santé, Il reprendra ses activités cinq ans plus tard et rencontre Karin, sa compagne, qui vit en Gironde.
SLEM pose valises et caméra à Villandraut en 2009, puis à Cazalis en 2013. Retour à la vidéo, il travaille avec des artistes du sud ouest, tels Anne Gardey des Bois, Patrick Deletrez, Isabelle Loubère.
Désormais, son art ne se monnaie plus. C'est troc et échanges! Sa passion le porte, l’artiste se révèle enfin.
En 2018, c'est Lanas Encamina's. Ce libre hommage à la Lande d'Arnaudin, accompagné de la musique d’Anne Gardey des Bois, nous plonge dans la poésie de cette terre.
SLEM vit et travaille à Cazalis (33)

Les Landes et le Vitrail
Brigitte Nogaro, maître verrier
Vitrail : la lumière fut !
Brigitte Nogaro ... Une famille d'artistes: son père Bernard Nogaro, grand coloriste, était un peintre illustrateur dacquois, un de ces frères Christian Nogaro était luthier et son autre frère, Anora Borra, artiste peintre dacquois.
Brigitte au cours de sa troisième année d'études à l'Ecole des Beaux-arts de Bordeaux, effectue un stage dans l'atelier de vitraux de J. Dupuy. Séduite par ce métier, elle signe un contrat d'apprentissage qui la mène à l'obtention du CAP de vitrailliste, en 1981. Après avoir travaillé quelque temps dans l'entreprise, grâce à l'obtention d'une bourse elle part se perfectionner dans l'atelier de Mme Brenas, à Carcassonne. A l'issue de cette formation, en 1984, elle crée son propre atelier. Elle est installée à Saint Paul les Dax depuis 1992. Elle se partage entre la restauration de vitraux anciens, notamment dans des monuments classés et la création d'œuvres originales.
Brigitte, un paradoxe de femme fine, déterminée, solide, délicate, lumineuse... un regard direct, droit. Vaillante, elle semble en état d'urgence, de combat... c'est un métier difficile, un statut si ingrat d'artisan! Observer ses croquis, ses couleurs, ses lignes c'est découvrir ses sublimes restaurations, son délicat travail de création et, ainsi, son magnifique talent de Maître verrier.
Brigitte Nogaro est née en 1959, elle vit et travaille à Saint Paul les Dax (40).
Vitrail : la lumière fut !
Brigitte Nogaro ... Une famille d'artistes: son père Bernard Nogaro, grand coloriste, était un peintre illustrateur dacquois, un de ces frères Christian Nogaro était luthier et son autre frère, Anora Borra, artiste peintre dacquois.
Brigitte au cours de sa troisième année d'études à l'Ecole des Beaux-arts de Bordeaux, effectue un stage dans l'atelier de vitraux de J. Dupuy. Séduite par ce métier, elle signe un contrat d'apprentissage qui la mène à l'obtention du CAP de vitrailliste, en 1981. Après avoir travaillé quelque temps dans l'entreprise, grâce à l'obtention d'une bourse elle part se perfectionner dans l'atelier de Mme Brenas, à Carcassonne. A l'issue de cette formation, en 1984, elle crée son propre atelier. Elle est installée à Saint Paul les Dax depuis 1992. Elle se partage entre la restauration de vitraux anciens, notamment dans des monuments classés et la création d'œuvres originales.
Brigitte, un paradoxe de femme fine, déterminée, solide, délicate, lumineuse... un regard direct, droit. Vaillante, elle semble en état d'urgence, de combat... c'est un métier difficile, un statut si ingrat d'artisan! Observer ses croquis, ses couleurs, ses lignes c'est découvrir ses sublimes restaurations, son délicat travail de création et, ainsi, son magnifique talent de Maître verrier.
Brigitte Nogaro est née en 1959, elle vit et travaille à Saint Paul les Dax (40).

Dialogues
Myriam Rueff, sculpteur
Patrick Nitaro, photographe
Ils sont tous les deux nés en 1961, elle à Bordeaux, lui à Toulouse.
Ils se rencontrent en 1980 à Toulouse où ils font leurs études.. La création artistique les "habite" et elle se dévoile progressivement pour l'un et l'autre dans les années 1990.. l'évidence de conjuguer leur travail se révèle en 2010..
Myriam dit: « Par la sculpture, je cherche à assembler des matières pour rendre visibles leurs traces, leurs textures..... Des corps naissent hiératiques, poussés vers le haut. Ils racontent des mouvements, des instants figés, des bouts de vie, des émotions..»
Patrick dit: « Mon regard se pose sur des situations, des objets, des personnages où je retrouve la trace et l’empreinte d’une certaine humanité. Le contraste noir et blanc vient soutenir ces univers simples et quotidiens. Je donne à voir des bouts d’histoires et l’imagination de celui qui regarde fait la suite.»
Leur imaginaire est nourri des voyages qu'ils font.. ils sont en quête de l'invisible et de l'évidence de ce fil mystérieux qui relie la terre et le ciel... leurs œuvres disent la "vagabondance" de leur âme et de leur perception de cette errance ! C'est tout en subtilité, délicatesse, finesse... et ô paradoxe, l'ensemble atteste de leur nécessité d'être à la fois des rêveurs et des "vigies". Leurs dialogues nous proposent une pérégrination sur leurs terres.
Patrick Nitaro, photographe
Ils sont tous les deux nés en 1961, elle à Bordeaux, lui à Toulouse.
Ils se rencontrent en 1980 à Toulouse où ils font leurs études.. La création artistique les "habite" et elle se dévoile progressivement pour l'un et l'autre dans les années 1990.. l'évidence de conjuguer leur travail se révèle en 2010..
Myriam dit: « Par la sculpture, je cherche à assembler des matières pour rendre visibles leurs traces, leurs textures..... Des corps naissent hiératiques, poussés vers le haut. Ils racontent des mouvements, des instants figés, des bouts de vie, des émotions..»
Patrick dit: « Mon regard se pose sur des situations, des objets, des personnages où je retrouve la trace et l’empreinte d’une certaine humanité. Le contraste noir et blanc vient soutenir ces univers simples et quotidiens. Je donne à voir des bouts d’histoires et l’imagination de celui qui regarde fait la suite.»
Leur imaginaire est nourri des voyages qu'ils font.. ils sont en quête de l'invisible et de l'évidence de ce fil mystérieux qui relie la terre et le ciel... leurs œuvres disent la "vagabondance" de leur âme et de leur perception de cette errance ! C'est tout en subtilité, délicatesse, finesse... et ô paradoxe, l'ensemble atteste de leur nécessité d'être à la fois des rêveurs et des "vigies". Leurs dialogues nous proposent une pérégrination sur leurs terres.

Rugby
Antoine Dominique photographe portraitiste
né le 6 janvier 1989, il vit et travaille à Monflanquin (Lot & Garonne)
C'est vers l'âge de 15 ans que se révèle à lui la passion pour la photo. Après un BAC et deux années de fac, il décide à faire de la photo son métier et, 3 années en apprentissage plus tard, il est portraitiste.
Sa sensibilité et son savoir faire le guident pour réaliser des images sincères, modernes et fidèles aux personnes qu'il photographie.
Depuis 2009, il a entamé un travail de recherche sur le rugby amateur. Ce travail sur le rugby l'a amené à développer une série sur le rugby féminin intitulée "Femmes de rugby". Ces joueuses photographiées en studio nous communiquent, par leurs regards leur envie, leur détermination, leur passion et leur force. Ces portraits nous amènent à observer le paradoxe du rugby féminin alliant douceur et rudesse.
Antoine obtient le label Portraitiste de France en 2015 et en 2017. En 2018, la Fédération Européenne de la Photographie lui attribue la qualification de QEP ( Qualified European Photographer ) pour la série "Femmes de rugby". L’obtention de ce titre le fait rentrer dans le club très fermé des photographes français ayant décroché un QEP. Ils sont 39 à l’heure actuelle et un peu plus de 500 sur toute l’Europe. Le label QEP a pour but de reconnaître et récompenser l’excellence des photographes européens professionnels.
Très attaché à son village il est très impliqué dans la vie du village et aime photographier les gens auprès desquels il a grandi. : "J'aime travailler avec les gens qui vivent ici."
Antoine Dominique, photographe actif et engagé a également créé à Monflanquin un festival autour de la photographie « Voix de l’image ».
né le 6 janvier 1989, il vit et travaille à Monflanquin (Lot & Garonne)
C'est vers l'âge de 15 ans que se révèle à lui la passion pour la photo. Après un BAC et deux années de fac, il décide à faire de la photo son métier et, 3 années en apprentissage plus tard, il est portraitiste.
Sa sensibilité et son savoir faire le guident pour réaliser des images sincères, modernes et fidèles aux personnes qu'il photographie.
Depuis 2009, il a entamé un travail de recherche sur le rugby amateur. Ce travail sur le rugby l'a amené à développer une série sur le rugby féminin intitulée "Femmes de rugby". Ces joueuses photographiées en studio nous communiquent, par leurs regards leur envie, leur détermination, leur passion et leur force. Ces portraits nous amènent à observer le paradoxe du rugby féminin alliant douceur et rudesse.
Antoine obtient le label Portraitiste de France en 2015 et en 2017. En 2018, la Fédération Européenne de la Photographie lui attribue la qualification de QEP ( Qualified European Photographer ) pour la série "Femmes de rugby". L’obtention de ce titre le fait rentrer dans le club très fermé des photographes français ayant décroché un QEP. Ils sont 39 à l’heure actuelle et un peu plus de 500 sur toute l’Europe. Le label QEP a pour but de reconnaître et récompenser l’excellence des photographes européens professionnels.
Très attaché à son village il est très impliqué dans la vie du village et aime photographier les gens auprès desquels il a grandi. : "J'aime travailler avec les gens qui vivent ici."
Antoine Dominique, photographe actif et engagé a également créé à Monflanquin un festival autour de la photographie « Voix de l’image ».

Magnétique
Laurent Monloubou - Peintre
peintre, mais aussi voyageur, rêveur, "bien-faiseur", photographe, jardinier, contemplatif, scrutateur du divin..
Né en 1966, au Bénin, à Cotonou d'un père diplomate et d'une mère professeure de lettres classiques, son enfance doit s'accorder aux pays où la famille résidera et aux humeurs paternelles.
Après l'Afrique de l'Ouest, ce sera l'Argentine, puis le Brésil..
Il stocke émotions, vibrations, couleurs, odeurs, à 18 ans il passe un an en prépa d'Hypokhâgne, puis ce sera un Deug d'anglais, avec une U.V d'hébreu...
1986, il a 20 ans et part pour 4 mois en Israël. Au retour, inscription en fac d'histoire...
1987, il largue les amarres et part en Inde où il reste 3 ans... et fait des aller et retour, envisageant même de se faire naturaliser indien! Il s'imprègne de ce pays et du bouddhisme.. il affirme sa quête de l'invisible.. sa quête de sens et son obsession à trouver des réponses, il trace son chemin.
1995, il arrive à Mimizan pour un travail de saisonnier .. et il s'y installera!
Laurent dessine et peint depuis sa plus tendre enfance. Sa peinture est une méditation ininterrompue.. une pérégrination! Elle relève du mandala et de la peinture aborigène.. c'est une peinture vibratoire et, comme dans le monde quantique, les énergies sont invisibles mais palpables puisque nous en saisissons les effets. Elle nous dit que nous sommes tous reliés par ces énergies puisque nous sommes “émetteurs-récepteurs” composant la conscience universelle.
Dans son travail tout est joyeuse ferveur, prières, résonances, pulsations, mouvement et transmission: couleurs, points, lignes, formes, cadences, compositions!.. c'est comme une invitation à un mystérieux voyage!
peintre, mais aussi voyageur, rêveur, "bien-faiseur", photographe, jardinier, contemplatif, scrutateur du divin..
Né en 1966, au Bénin, à Cotonou d'un père diplomate et d'une mère professeure de lettres classiques, son enfance doit s'accorder aux pays où la famille résidera et aux humeurs paternelles.
Après l'Afrique de l'Ouest, ce sera l'Argentine, puis le Brésil..
Il stocke émotions, vibrations, couleurs, odeurs, à 18 ans il passe un an en prépa d'Hypokhâgne, puis ce sera un Deug d'anglais, avec une U.V d'hébreu...
1986, il a 20 ans et part pour 4 mois en Israël. Au retour, inscription en fac d'histoire...
1987, il largue les amarres et part en Inde où il reste 3 ans... et fait des aller et retour, envisageant même de se faire naturaliser indien! Il s'imprègne de ce pays et du bouddhisme.. il affirme sa quête de l'invisible.. sa quête de sens et son obsession à trouver des réponses, il trace son chemin.
1995, il arrive à Mimizan pour un travail de saisonnier .. et il s'y installera!
Laurent dessine et peint depuis sa plus tendre enfance. Sa peinture est une méditation ininterrompue.. une pérégrination! Elle relève du mandala et de la peinture aborigène.. c'est une peinture vibratoire et, comme dans le monde quantique, les énergies sont invisibles mais palpables puisque nous en saisissons les effets. Elle nous dit que nous sommes tous reliés par ces énergies puisque nous sommes “émetteurs-récepteurs” composant la conscience universelle.
Dans son travail tout est joyeuse ferveur, prières, résonances, pulsations, mouvement et transmission: couleurs, points, lignes, formes, cadences, compositions!.. c'est comme une invitation à un mystérieux voyage!

Je repars... Moi aussi
Pierre Giusti
Peintre
Pierre-Louis est né en Algérie.. à Oran en 1943... début des années 1960, il traversera cette mare nostrum.. ce sera Marseille, Cannes.. son chemin artistique est totalement imprégné de cette terre méditerranéenne et de cette profusion d'envies, de désirs, d'impératifs à raconter, à chercher, à explorer, à créer..
En 2003, il passera d'est en ouest et vient dans les Landes. Il explore alors une autre rive, d'autres eaux.. d'autres sentiers et d'autres langages, d'autres axes de création.
Rêver, imaginer, inventer, arpenter, examiner encore et encore... et puis concevoir, construire, réaliser...pour être debout, pour être vivant, pour simplement être incarner et transmettre, partager! Il aime les textures,, les matériaux, les volumes, les couleurs,... et les outils, les pinceaux, les vernis, les cires, les bois, les pierres... Tout cela est une question d'équilibre, la quête d'une sérénité!
En 2015, il attrape ses pinceaux, c'est le moment où sa peinture révèle une autre étape, une autre "position".
C'est une peinture bleue, quasi monochrome. Ce sont ces mots (ses maux?) bleus à lui..
Ce parti-pris monochromatique est-il la traduction de sa nécessité d'aller à l'essentiel, à laisser s'éloigner l'exaltation du polychrome, du polymorphe?
C'est l'arrivée d'un langage sobre et apaisé.
Nous découvrons une narration nostalgique, mélancolique... mais précise, nette, entière.. en forme d'abandon.. en forme de révélation crue et tendre..
Quand on est devant cet univers bleu, on sait sa vigilance, on frôle son âme, on visite ses rêves!
Il a une maîtrise remarquable du trait, et se réjouit, avec brio, de l'ombre et de la lumière.
Peintre
Pierre-Louis est né en Algérie.. à Oran en 1943... début des années 1960, il traversera cette mare nostrum.. ce sera Marseille, Cannes.. son chemin artistique est totalement imprégné de cette terre méditerranéenne et de cette profusion d'envies, de désirs, d'impératifs à raconter, à chercher, à explorer, à créer..
En 2003, il passera d'est en ouest et vient dans les Landes. Il explore alors une autre rive, d'autres eaux.. d'autres sentiers et d'autres langages, d'autres axes de création.
Rêver, imaginer, inventer, arpenter, examiner encore et encore... et puis concevoir, construire, réaliser...pour être debout, pour être vivant, pour simplement être incarner et transmettre, partager! Il aime les textures,, les matériaux, les volumes, les couleurs,... et les outils, les pinceaux, les vernis, les cires, les bois, les pierres... Tout cela est une question d'équilibre, la quête d'une sérénité!
En 2015, il attrape ses pinceaux, c'est le moment où sa peinture révèle une autre étape, une autre "position".
C'est une peinture bleue, quasi monochrome. Ce sont ces mots (ses maux?) bleus à lui..
Ce parti-pris monochromatique est-il la traduction de sa nécessité d'aller à l'essentiel, à laisser s'éloigner l'exaltation du polychrome, du polymorphe?
C'est l'arrivée d'un langage sobre et apaisé.
Nous découvrons une narration nostalgique, mélancolique... mais précise, nette, entière.. en forme d'abandon.. en forme de révélation crue et tendre..
Quand on est devant cet univers bleu, on sait sa vigilance, on frôle son âme, on visite ses rêves!
Il a une maîtrise remarquable du trait, et se réjouit, avec brio, de l'ombre et de la lumière.

Les Beaux Gestes
Vincent Castaneira, tresseur d'osier
est né à Talence en 1977. Issu d'une lignée d'émigrés espagnols fuyant le franquisme, il grandit dans le quartier espagnol de Bordeaux.
Avec ses 4 frères il accompagne son père qui visite toutes les foires et autres rassemblement d'artisans.
Il se forme au Lycée des Métiers d'Arts de Coarraze (64). En 2009, il découvre le travail de tressage et fera l'Ecole Nationale D'Osiériculture et de Vannerie de Fayl-Billot (52)
Depuis 5 ans il vit et travaille l'osier à Prechac (33)
Vincent ouvre la porte de son atelier: pieds nus, bien planté au sol, un grand sourire accompagne le geste ample de l'invite. Je découvre une étrange forêt d' élégantes gerbes de tiges blanches, vertes et rousses parlent illico de nature, d'eau, de terre, de vent, de soleil !
Il raconte le saule, ses plus de 300 variétés, les zones humides et fraîches nécessaires à cette culture, les climats, l'écologie etc..
Etre avec lui, c'est aussi approcher l'élasticité du temps.. on frôle quelques 10 000 ans d'histoire d'agriculture et d'artisanat rural qui se disent et se télescopent dans ses mains expertes à créer des objets résolument contemporains avec des branches de saules qui nous viennent de la nuit des temps!
Il s'assoit sur un large banc, à portée de main les outils, et "tresse" un panier posé sur une drôle de table qui a les "pattes" arrières plus hautes que celles de devant..
Il dit son bonheur à créer des objets du quotidien singuliers de beauté et d'harmonie, à parer les jardins de tontines, de tonnelles, de bordures, de clôtures "vivantes", esprit Land 'Art !
Son travail révèle sa rigueur, son attention bienveillante aux gens et à la nature, son goût du beau geste! C'est un labeur en solitaire... qui le relie au monde et à la terre!
est né à Talence en 1977. Issu d'une lignée d'émigrés espagnols fuyant le franquisme, il grandit dans le quartier espagnol de Bordeaux.
Avec ses 4 frères il accompagne son père qui visite toutes les foires et autres rassemblement d'artisans.
Il se forme au Lycée des Métiers d'Arts de Coarraze (64). En 2009, il découvre le travail de tressage et fera l'Ecole Nationale D'Osiériculture et de Vannerie de Fayl-Billot (52)
Depuis 5 ans il vit et travaille l'osier à Prechac (33)
Vincent ouvre la porte de son atelier: pieds nus, bien planté au sol, un grand sourire accompagne le geste ample de l'invite. Je découvre une étrange forêt d' élégantes gerbes de tiges blanches, vertes et rousses parlent illico de nature, d'eau, de terre, de vent, de soleil !
Il raconte le saule, ses plus de 300 variétés, les zones humides et fraîches nécessaires à cette culture, les climats, l'écologie etc..
Etre avec lui, c'est aussi approcher l'élasticité du temps.. on frôle quelques 10 000 ans d'histoire d'agriculture et d'artisanat rural qui se disent et se télescopent dans ses mains expertes à créer des objets résolument contemporains avec des branches de saules qui nous viennent de la nuit des temps!
Il s'assoit sur un large banc, à portée de main les outils, et "tresse" un panier posé sur une drôle de table qui a les "pattes" arrières plus hautes que celles de devant..
Il dit son bonheur à créer des objets du quotidien singuliers de beauté et d'harmonie, à parer les jardins de tontines, de tonnelles, de bordures, de clôtures "vivantes", esprit Land 'Art !
Son travail révèle sa rigueur, son attention bienveillante aux gens et à la nature, son goût du beau geste! C'est un labeur en solitaire... qui le relie au monde et à la terre!

Transhumances
Valérie Bornand, plasticienne
Elle est la coïncidence des opposés:
l'ombre et la lumière - le silence et la verve - le recueillement et l'exubérance - le dur et le fragile
l'enfermement et la délivrance - l'assurance et le balbutiement - le calme et la fébrilité...
Elle est grande, longiligne, aguerrie, énigmatique, généreuse et exigeante... et si souriante!
Née en 1972 à Lausanne (Suisse) dans un environnement suffocant, tendance " austère ", son enfance et son adolescence sont adoucies par un grand-père fantasque qui peignait. Très tôt elle explore le modelage et le moulage. Elle suivra l’École Supérieure des Beaux-arts de Genève où elle découvre le travail sur la pierre. Elle a 20 ans quand elle part pour vivre au Portugal. Elle y restera 16 ans. C'est sa "période" bronze! Il y a 8 ans elle revient en France et s'installe 4 ans après à Roquefort (40). Son parcours artistique est une quête cohérente des paradoxes qui l'habitent, la nourrissent et la guident! Elle explore, expérimente, cherche dans un corps à corps audacieux et résolu.
La découverte des créations de Valérie, c'est arpenter un univers de formes, de matières, de volumes, qui raconte une résistance au délétère, à l'irrespirable afin de laisser entrer le blanc, la lumière, la transparence, le souffle, l'eurythmie... comme une grâce enfin accordée! Créer est assurément sa respiration!
Elle est la coïncidence des opposés:
l'ombre et la lumière - le silence et la verve - le recueillement et l'exubérance - le dur et le fragile
l'enfermement et la délivrance - l'assurance et le balbutiement - le calme et la fébrilité...
Elle est grande, longiligne, aguerrie, énigmatique, généreuse et exigeante... et si souriante!
Née en 1972 à Lausanne (Suisse) dans un environnement suffocant, tendance " austère ", son enfance et son adolescence sont adoucies par un grand-père fantasque qui peignait. Très tôt elle explore le modelage et le moulage. Elle suivra l’École Supérieure des Beaux-arts de Genève où elle découvre le travail sur la pierre. Elle a 20 ans quand elle part pour vivre au Portugal. Elle y restera 16 ans. C'est sa "période" bronze! Il y a 8 ans elle revient en France et s'installe 4 ans après à Roquefort (40). Son parcours artistique est une quête cohérente des paradoxes qui l'habitent, la nourrissent et la guident! Elle explore, expérimente, cherche dans un corps à corps audacieux et résolu.
La découverte des créations de Valérie, c'est arpenter un univers de formes, de matières, de volumes, qui raconte une résistance au délétère, à l'irrespirable afin de laisser entrer le blanc, la lumière, la transparence, le souffle, l'eurythmie... comme une grâce enfin accordée! Créer est assurément sa respiration!

Correspondances
Erika Bournet-Delbosc, plasticienne
Erika, quelle rencontre!.. Elle trimballe avec elle le singulier paradoxe d'une très aérienne fragilité et d'un ancrage vigoureux à la Terre! Elle se meut avec grâce entre un monde de silences nécessaires comme ceux d'une portée musicale et la complexité savante du solide tissage de la toile.. d'araignée!
De Châteauroux où elle est née (1975), en passant par le Cher, l'Afrique de l'ouest (Mali et Burkina Faso), le Tarn et Garonne, les Pyrénées Atlantiques, le Nord, l'Algérie et les Landes, elle ne va pas trop l'école, elle fréquente "l'école sous l'Arbre", nourrie par les contes que lui murmure sa mère tisserande et à l'amour des mots de son père, musicien (Auteur, compositeur, interprète). Elle pratique ce qu'elle nomme "la poésie auto-mobile".. elle écrit tout le temps... et elle va beaucoup au cinéma... son premier émoi: La Rose pourpre du Caire de Woody Allen! Ces références artistiques sont le photo monteur, John Heartfield, le collagiste, poète, écrivain et peintre Jiří Kolář et Ernest Pignon-Ernest, plasticien.. souvenez vous de Métro Charonne!... Elle fréquentera les Beaux Arts à Bordeaux de 1995 à 2000.
Erika est en résonnance avec la planète, avec la nature, avec notre mémoire collective, elle s'inscrit comme un "témoin", une "sentinelle".. elle revendique l'importance du geste artistique... elle écrit, coupe, découpe, crochète, colle /décolle, met en exergue et en lumière, et pratique le collage comme une "réconciliation"! " Le temps de repriser l’inimaginable." dit-elle.
A la Gare, ses collages seront en "correspondances" avec des textes ou des poèmes de Pascal Daudon, Patrick Deletrez et Paul Bournet. Erika vit & travaille dans les Landes, entre Roquefort et Sabres.
Erika, quelle rencontre!.. Elle trimballe avec elle le singulier paradoxe d'une très aérienne fragilité et d'un ancrage vigoureux à la Terre! Elle se meut avec grâce entre un monde de silences nécessaires comme ceux d'une portée musicale et la complexité savante du solide tissage de la toile.. d'araignée!
De Châteauroux où elle est née (1975), en passant par le Cher, l'Afrique de l'ouest (Mali et Burkina Faso), le Tarn et Garonne, les Pyrénées Atlantiques, le Nord, l'Algérie et les Landes, elle ne va pas trop l'école, elle fréquente "l'école sous l'Arbre", nourrie par les contes que lui murmure sa mère tisserande et à l'amour des mots de son père, musicien (Auteur, compositeur, interprète). Elle pratique ce qu'elle nomme "la poésie auto-mobile".. elle écrit tout le temps... et elle va beaucoup au cinéma... son premier émoi: La Rose pourpre du Caire de Woody Allen! Ces références artistiques sont le photo monteur, John Heartfield, le collagiste, poète, écrivain et peintre Jiří Kolář et Ernest Pignon-Ernest, plasticien.. souvenez vous de Métro Charonne!... Elle fréquentera les Beaux Arts à Bordeaux de 1995 à 2000.
Erika est en résonnance avec la planète, avec la nature, avec notre mémoire collective, elle s'inscrit comme un "témoin", une "sentinelle".. elle revendique l'importance du geste artistique... elle écrit, coupe, découpe, crochète, colle /décolle, met en exergue et en lumière, et pratique le collage comme une "réconciliation"! " Le temps de repriser l’inimaginable." dit-elle.
A la Gare, ses collages seront en "correspondances" avec des textes ou des poèmes de Pascal Daudon, Patrick Deletrez et Paul Bournet. Erika vit & travaille dans les Landes, entre Roquefort et Sabres.

Mosaïques Bleu Citron
B & N Coyola, les artistes de Bleu Citron
Nadine & Bernard sont landais, elle de Mimizan, lui de Lesperon. Ils se sont rencontrés à Pau pendant leurs études .Ils ont créé, il y a plus de vingt ans, leur activité Bleu Citron. Au départ à Bruges de Béarn, ils ouvrent un atelier de restauration et de ventes d'objets industriels.. ils fabriquent leur premier guéridon en mosaïque en 1993. En 2000, Ils s'installent à Mimizan où ils vivent et travaillent encore!
Quand on rentre dans leur atelier, on est saisi par leur univers de couleurs, de formes, de fantaisie, de matière.. et des objets.. en cours de création, en attente de "soins", en passe de finition.. Ils utilisent différents matériaux, avec une préférence pour le verre, qui confère à leurs œuvres un brillant et une rare intensité de couleurs.
Les Coyola... couple, duo, binôme, duettistes?.. oui..tout cela.. et avec fantaisie, humour, talent, générosité... ils proposent des univers très liés à la nature, au végétal, à l'animal... ou au milieu marin... Alors... on croise des chats dodus, des bancs de sardines scintillantes, des coquettes cocottes et des hippocampes psychédéliques ... La tauromachie est un autre pan de leur création.. et leurs taureaux sont de vrais bijoux! Les tables-mosaïques sont une invite à partager un moment radieux.. Et là.. pas loin.. il y a d'étranges et excentriques nanas longilignes... un peu "déjantées" ... un peu "venues d'ailleurs" qui sont là... comme en apesanteur, joli "délire"!
Nadine & Bernard sont landais, elle de Mimizan, lui de Lesperon. Ils se sont rencontrés à Pau pendant leurs études .Ils ont créé, il y a plus de vingt ans, leur activité Bleu Citron. Au départ à Bruges de Béarn, ils ouvrent un atelier de restauration et de ventes d'objets industriels.. ils fabriquent leur premier guéridon en mosaïque en 1993. En 2000, Ils s'installent à Mimizan où ils vivent et travaillent encore!
Quand on rentre dans leur atelier, on est saisi par leur univers de couleurs, de formes, de fantaisie, de matière.. et des objets.. en cours de création, en attente de "soins", en passe de finition.. Ils utilisent différents matériaux, avec une préférence pour le verre, qui confère à leurs œuvres un brillant et une rare intensité de couleurs.
Les Coyola... couple, duo, binôme, duettistes?.. oui..tout cela.. et avec fantaisie, humour, talent, générosité... ils proposent des univers très liés à la nature, au végétal, à l'animal... ou au milieu marin... Alors... on croise des chats dodus, des bancs de sardines scintillantes, des coquettes cocottes et des hippocampes psychédéliques ... La tauromachie est un autre pan de leur création.. et leurs taureaux sont de vrais bijoux! Les tables-mosaïques sont une invite à partager un moment radieux.. Et là.. pas loin.. il y a d'étranges et excentriques nanas longilignes... un peu "déjantées" ... un peu "venues d'ailleurs" qui sont là... comme en apesanteur, joli "délire"!

Dulce Alegria
Emmanuelle Lopez, peintre
dulce alegria
Emma est imprégnée depuis le plus tendre de son âge par les livres sur la peinture que son père, artiste peintre, laissait sur la table de la salle à manger... comme des invitations à "voyager" dans la peinture italienne et ses grands maîtres... mais aussi les impressionnistes, les surréalistes..
Ainsi et entre autres, à 9 ans, saisie, elle découvre Dali et s'émerveille de Monet. Elle a 11 ans quand elle suit son père dans un périple italien.. et découvre dans les musées de Florence la Renaissance italienne!
Et puis la vit va... la vie court... elle quitte Dax... se marie, a des enfants.. c'est au cap de la trentaine, après la naissance de son deuxième enfant, que lui arrive l'urgente nécessité de créer, de peindre! Elle y passe des jours et des nuits.. et puis la vie.. l'interrompt pendant 2 ans..
Quand elle revient à la peinture.. elle s'en "nourrit".. et dit:" la couleur me transmet de l'énergie, je peins debout, des grands formats, tout mon corps participe à ma peinture." Elle cherche, explore différentes techniques.. soutenue par son père.. Elle essaie avec bonheur le volume avec des petits objets-sculptures. "ces petites choses me rassurent, m'apaisent.." dit-elle!
La peinture d'Emmanuelle Lopez nous incite à une traversée polychrome... parfois tendre et douce, parfois énigmatique et secrète, parfois ombrageuse, rageuse.. et, de fait, avec une subtile et élégante maestria, elle nous révèle son émouvante intimité de femme!
Née à Dax (1971), vit et travaille à Toulouse.
dulce alegria
Emma est imprégnée depuis le plus tendre de son âge par les livres sur la peinture que son père, artiste peintre, laissait sur la table de la salle à manger... comme des invitations à "voyager" dans la peinture italienne et ses grands maîtres... mais aussi les impressionnistes, les surréalistes..
Ainsi et entre autres, à 9 ans, saisie, elle découvre Dali et s'émerveille de Monet. Elle a 11 ans quand elle suit son père dans un périple italien.. et découvre dans les musées de Florence la Renaissance italienne!
Et puis la vit va... la vie court... elle quitte Dax... se marie, a des enfants.. c'est au cap de la trentaine, après la naissance de son deuxième enfant, que lui arrive l'urgente nécessité de créer, de peindre! Elle y passe des jours et des nuits.. et puis la vie.. l'interrompt pendant 2 ans..
Quand elle revient à la peinture.. elle s'en "nourrit".. et dit:" la couleur me transmet de l'énergie, je peins debout, des grands formats, tout mon corps participe à ma peinture." Elle cherche, explore différentes techniques.. soutenue par son père.. Elle essaie avec bonheur le volume avec des petits objets-sculptures. "ces petites choses me rassurent, m'apaisent.." dit-elle!
La peinture d'Emmanuelle Lopez nous incite à une traversée polychrome... parfois tendre et douce, parfois énigmatique et secrète, parfois ombrageuse, rageuse.. et, de fait, avec une subtile et élégante maestria, elle nous révèle son émouvante intimité de femme!
Née à Dax (1971), vit et travaille à Toulouse.

Présences Révélées
Hervé Haggaï, comédien, metteur en scène et photographe
Natif des Landes, sa famille s'est installée en région parisienne, mais cet artiste singulier passe toutes ses vacances dans la maison familiale sise dans notre village. Enfant, il a fréquenté pendant deux ans l'école de Saint Paul en Born!
Ses parents sont très occupés: père photo-filmeur et mère peintre. Hervé, un peu livré à lui-même et passionné d'images est très tôt un cinéphile assidu et aussi un photographe! C'est d'ailleurs par le biais de la photographie que plus tard il "rencontre" le théâtre et surtout Philippe Hottier.
Acteur et metteur en scène, P. Hottier a travaillé avec le Théâtre du Soleil. Il sera son formateur es clown et masques. En effet, chez P. Hottier, la quête du jeu théâtral par le biais du clown est une donnée essentielle des ateliers qu'il propose.
Pour Hervé, son métier de comédien et de metteur en scène se construit au gré des rencontres et autres "concours de circonstances"!
Son engouement pour l'image, la photo ne le lâche pas... Il trouve comme un équilibre entre l'acte solitaire de la photo et l'esprit du collectif qu'exige le théâtre!
"Présences révélées", photos qu'il nous propose à la Gare est une invitation à entrer dans son imaginaire et accorder à notre quotidien un "éclairage" différent.
En lien avec l'exposition photos, Hervé Haggaï alias Monsieur Koun, nous offrira Le Croco, un joli conte philosophique, à la fois tendre, réjouissant et impertinent!
Hervé est né à Mont de Marsan (40) en 1958, il vit & travaille à Saint Hilaire (38).
Natif des Landes, sa famille s'est installée en région parisienne, mais cet artiste singulier passe toutes ses vacances dans la maison familiale sise dans notre village. Enfant, il a fréquenté pendant deux ans l'école de Saint Paul en Born!
Ses parents sont très occupés: père photo-filmeur et mère peintre. Hervé, un peu livré à lui-même et passionné d'images est très tôt un cinéphile assidu et aussi un photographe! C'est d'ailleurs par le biais de la photographie que plus tard il "rencontre" le théâtre et surtout Philippe Hottier.
Acteur et metteur en scène, P. Hottier a travaillé avec le Théâtre du Soleil. Il sera son formateur es clown et masques. En effet, chez P. Hottier, la quête du jeu théâtral par le biais du clown est une donnée essentielle des ateliers qu'il propose.
Pour Hervé, son métier de comédien et de metteur en scène se construit au gré des rencontres et autres "concours de circonstances"!
Son engouement pour l'image, la photo ne le lâche pas... Il trouve comme un équilibre entre l'acte solitaire de la photo et l'esprit du collectif qu'exige le théâtre!
"Présences révélées", photos qu'il nous propose à la Gare est une invitation à entrer dans son imaginaire et accorder à notre quotidien un "éclairage" différent.
En lien avec l'exposition photos, Hervé Haggaï alias Monsieur Koun, nous offrira Le Croco, un joli conte philosophique, à la fois tendre, réjouissant et impertinent!
Hervé est né à Mont de Marsan (40) en 1958, il vit & travaille à Saint Hilaire (38).

Bruissements d'ELLE
Dominique Médard, Peintre
Bruissements d'ELLE
Il ya une générosité gourmande, impertinente, "essence-ciel" chez Dominique Médard pour nous raconter ELLE, en douceurs, en couleurs, en textures et autres rondeurs.
Elle nous propose un suave univers féminin dit en lignes pleines ou déliées, en courbes fondues et confondues, en nuances harmonieuses et joyeuses. C'est le singulier territoire d'une douce féminité et d'une délicate sensualité. Ses tableaux célèbrent des corps de femmes en dessins épurés et stylisés.
L'artiste se définit comme "une touche à tout des arts graphiques". "Mon œuvre, dit-elle, s'est constituée au fil des années à partir de rencontres essentielles". Peintures et gravures s'entremêlent, faisant souvent écho à des œuvres littéraires.
Ses allusions à Matisse ou Picasso se lisent dans ses formes et dans les nuances de bleus, de rouges et terre(s) de Sienne. Il y a toute la langueur d'un orientalisme affirmé dans ces femmes qui s'offrent simplement voluptueuses.
C'est une invite à la rêverie et à une humanité lumineuse et sucrée, mais aussi une invitation aux voyages!
Née à Paris en 1943, elle grandit au milieu des étoffes et des broderies: sa grand-mère était première d'atelier chez E. Schiaparelli et sa mère brodeuse chez Lanvin. Elle étudie aux Beaux-arts de Toulouse. Dominique Médard partage son temps entre le sud-ouest, dans le causse Blanc lotois et les environs de Tunis où elle expose régulièrement. M.M
Bruissements d'ELLE
Il ya une générosité gourmande, impertinente, "essence-ciel" chez Dominique Médard pour nous raconter ELLE, en douceurs, en couleurs, en textures et autres rondeurs.
Elle nous propose un suave univers féminin dit en lignes pleines ou déliées, en courbes fondues et confondues, en nuances harmonieuses et joyeuses. C'est le singulier territoire d'une douce féminité et d'une délicate sensualité. Ses tableaux célèbrent des corps de femmes en dessins épurés et stylisés.
L'artiste se définit comme "une touche à tout des arts graphiques". "Mon œuvre, dit-elle, s'est constituée au fil des années à partir de rencontres essentielles". Peintures et gravures s'entremêlent, faisant souvent écho à des œuvres littéraires.
Ses allusions à Matisse ou Picasso se lisent dans ses formes et dans les nuances de bleus, de rouges et terre(s) de Sienne. Il y a toute la langueur d'un orientalisme affirmé dans ces femmes qui s'offrent simplement voluptueuses.
C'est une invite à la rêverie et à une humanité lumineuse et sucrée, mais aussi une invitation aux voyages!
Née à Paris en 1943, elle grandit au milieu des étoffes et des broderies: sa grand-mère était première d'atelier chez E. Schiaparelli et sa mère brodeuse chez Lanvin. Elle étudie aux Beaux-arts de Toulouse. Dominique Médard partage son temps entre le sud-ouest, dans le causse Blanc lotois et les environs de Tunis où elle expose régulièrement. M.M

Effervescence
MANITOBA, l'anartiste!
Cette singulière effervescence à créer est commune aux musiciens et aux peintres...
Dans le travail de Manitoba, si voisin des arts premiers, il y a comme une longue méditation contemplative à accueillir. Tout cet élan polychrome et polymorphe si prolixe m'a "âme menée" à l'inviter à se pauser à la Gare.
Au delà de ce mystérieux fil qui vient d'ailleurs et qu'il a su saisir, ce fil qui s'étire, se mêle, se démêle, se croise... et nous guide vers ses territoires comme pour une célébration des couleurs... au delà de ce fil...il y a comme une incantation universelle!
Manitoba, l'anartiste autodidacte s'est désencombré de bien de scories pour "laisser passer" ces élans vibratoires de création qui l'animent, qui l'habitent ou le traversent... c'est un "en-charmeur"!
Un peu sorcier, un peu chaman, un peu conteur et raconteur, parfois illusionniste et jongleur.... il propose son monde intérieur.. alors venez... laissez vous aller à entrer dans la danse, dans la transe de Manitoba! M.M
Pascal Bourdilleau alias MANITOBA né en 1966 à Sétif en Algérie vit et travaille à Biganos (33).
Cette singulière effervescence à créer est commune aux musiciens et aux peintres...
Dans le travail de Manitoba, si voisin des arts premiers, il y a comme une longue méditation contemplative à accueillir. Tout cet élan polychrome et polymorphe si prolixe m'a "âme menée" à l'inviter à se pauser à la Gare.
Au delà de ce mystérieux fil qui vient d'ailleurs et qu'il a su saisir, ce fil qui s'étire, se mêle, se démêle, se croise... et nous guide vers ses territoires comme pour une célébration des couleurs... au delà de ce fil...il y a comme une incantation universelle!
Manitoba, l'anartiste autodidacte s'est désencombré de bien de scories pour "laisser passer" ces élans vibratoires de création qui l'animent, qui l'habitent ou le traversent... c'est un "en-charmeur"!
Un peu sorcier, un peu chaman, un peu conteur et raconteur, parfois illusionniste et jongleur.... il propose son monde intérieur.. alors venez... laissez vous aller à entrer dans la danse, dans la transe de Manitoba! M.M
Pascal Bourdilleau alias MANITOBA né en 1966 à Sétif en Algérie vit et travaille à Biganos (33).

Voisinage, les petites choses
Marc C. photographe
Marc Chaillou dit Marc C. photographe, est un promeneur contemplatif à l'âme et au regard naturellement prédisposés à déceler l'invisible. De longues années passées en Touraine et une maitrise en biologie des insectes ont sans doute participé à développer sa préférence à fréquenter toutes ses silencieuses merveilles que nous côtoyons sans les voir !
Par sa quête du beau et de ces instants furtifs et fugaces, ce terrien offre sa passion de la nature pour en montrer sa si fragile beauté, pour mieux la comprendre et ainsi la préserver. Cet exquis partage est aussi son langage de prédilection avec les humains... avec lesquels il a toujours un peu de mal à échanger!
Il dit: " Loin de l'agitation, je rêve d’une vieille carte et autant de lieux à découvrir. À la recherche de moments et de nouvelles rencontres ou l’humain est invisible."
Ce talentueux rêveur, singulièrement pugnace dans son travail photographique proposant une subtile et jubilatoire allégorie de notre planète, cite volontiers Vincent Munier: "...ne pas prendre en photo ce que l'on voit, mais ce que l'on ressent!"
L'univers de Marc nous autorise à rêver... et "rêver, c'est déjà ça..." comme le chante A. Souchon!
Marc C. est né en mai 1971 à Tours, il vit et travaille aujourd'hui à Lormont (33).
Marc Chaillou dit Marc C. photographe, est un promeneur contemplatif à l'âme et au regard naturellement prédisposés à déceler l'invisible. De longues années passées en Touraine et une maitrise en biologie des insectes ont sans doute participé à développer sa préférence à fréquenter toutes ses silencieuses merveilles que nous côtoyons sans les voir !
Par sa quête du beau et de ces instants furtifs et fugaces, ce terrien offre sa passion de la nature pour en montrer sa si fragile beauté, pour mieux la comprendre et ainsi la préserver. Cet exquis partage est aussi son langage de prédilection avec les humains... avec lesquels il a toujours un peu de mal à échanger!
Il dit: " Loin de l'agitation, je rêve d’une vieille carte et autant de lieux à découvrir. À la recherche de moments et de nouvelles rencontres ou l’humain est invisible."
Ce talentueux rêveur, singulièrement pugnace dans son travail photographique proposant une subtile et jubilatoire allégorie de notre planète, cite volontiers Vincent Munier: "...ne pas prendre en photo ce que l'on voit, mais ce que l'on ressent!"
L'univers de Marc nous autorise à rêver... et "rêver, c'est déjà ça..." comme le chante A. Souchon!
Marc C. est né en mai 1971 à Tours, il vit et travaille aujourd'hui à Lormont (33).

SenS et RéminiScenceS
Patrick Deletrez Plasticien
En août 2015, Patrick Deletrez proposait à "l'adoption" quelques unes de ses sculptures! La Gare de l'Art adopte l' '"Esquisse de Babel", qui est installée sur le quai! Ce jour là ce fut la rencontre avec un artiste sensible au parcours singulier! ! Ado, il doit son premier choc artistique à Picasso avec Garnica qu'il "recopie" des dizaines de fois!
Né à Reims (51) qu'il quitte à 22 ans pour se "désintoxiquer" des espaces urbains et autres pollutions... Il part vivre en pleine nature dans la vallée d'Aspe l'expérience communautaire des années 70... Puis dans les années 90... c'est Uzeste et une collaboration avec la compagnie de Bernard Lubat et la liberté totale de la conception et de la réalisation.
Sa rancontre avec ces musiciens et autres poètes très imprégnés du surréalisme l'ont conduit à la création des "Imachinasons".
.. Elles seront, entre autre, installées à Langon (33)... Langon, où il collabore avec Le festival des Nuits Atypiques à l'Estanquet.
Que ce soit pour ses machines, ses sculptures... il glane et récupère des matières ou des objets improbables pour créer et surprendre... Patrick est un artiste polymorphe, polychrome, polytechnique, à l'occasion mécano, soudeur, découpeur et bruiteur...
Ses récentes créations sont légères, il est passé de l'opacité à la lumière... c'est tout en subtile élégance, en émois ciselés et d'une sublime délicatesse!
Patrick s'est mis assez récemment à l'écriture... en sculpteur de mots et de maux.Il jongle avec les métaphores, les empreintes... les traces, les absences et une exquise sensualité!
Patrick Deletrez vit et travaille à Uzeste (33).
En août 2015, Patrick Deletrez proposait à "l'adoption" quelques unes de ses sculptures! La Gare de l'Art adopte l' '"Esquisse de Babel", qui est installée sur le quai! Ce jour là ce fut la rencontre avec un artiste sensible au parcours singulier! ! Ado, il doit son premier choc artistique à Picasso avec Garnica qu'il "recopie" des dizaines de fois!
Né à Reims (51) qu'il quitte à 22 ans pour se "désintoxiquer" des espaces urbains et autres pollutions... Il part vivre en pleine nature dans la vallée d'Aspe l'expérience communautaire des années 70... Puis dans les années 90... c'est Uzeste et une collaboration avec la compagnie de Bernard Lubat et la liberté totale de la conception et de la réalisation.
Sa rancontre avec ces musiciens et autres poètes très imprégnés du surréalisme l'ont conduit à la création des "Imachinasons".
.. Elles seront, entre autre, installées à Langon (33)... Langon, où il collabore avec Le festival des Nuits Atypiques à l'Estanquet.
Que ce soit pour ses machines, ses sculptures... il glane et récupère des matières ou des objets improbables pour créer et surprendre... Patrick est un artiste polymorphe, polychrome, polytechnique, à l'occasion mécano, soudeur, découpeur et bruiteur...
Ses récentes créations sont légères, il est passé de l'opacité à la lumière... c'est tout en subtile élégance, en émois ciselés et d'une sublime délicatesse!
Patrick s'est mis assez récemment à l'écriture... en sculpteur de mots et de maux.Il jongle avec les métaphores, les empreintes... les traces, les absences et une exquise sensualité!
Patrick Deletrez vit et travaille à Uzeste (33).

Sculptures des Sables
Eric Chartier
Né en 1954 à Niort, il a grandit dans le marais poitevin... a fait une formation de chaudronnier et fut forestier à l'O.N.F pendant 39 ans! Ses pérégrinations "forestières" liées à son travail... l'ont mené sur le littoral landais à partir de 2008 et ce jusqu'à sa récente retraite! Il vit à Pompadour (19).
En arpentant le cordon dunaire landais... pour l'entretenir, le "soigner", le consolider... il a fait d'étranges rencontres...
Ce travail de stabilisation des dunes a commencé il y a fort longtemps et, les palissades, avec la complicité du vent, du sable et de l'océan, sont devenues sculptures... La sensibilité d'Eric et de son objectif ont saisi "l'invisible" ... tout ce que "nous regardons, sans voir"!
C'est une balade en poésie et enchantement... "tout en étant un témoignage patrimonial de ces travaux dunaires, lesquels restent un grand enjeu environnemental".
Nous pourrons découvrir ces photos exposées à la Gare, mais aussi découvrir son livre, ouvrage insolite fait de merveilleuses images, de textes et autres pensées d'auteurs qui l'accompagnent!
Né en 1954 à Niort, il a grandit dans le marais poitevin... a fait une formation de chaudronnier et fut forestier à l'O.N.F pendant 39 ans! Ses pérégrinations "forestières" liées à son travail... l'ont mené sur le littoral landais à partir de 2008 et ce jusqu'à sa récente retraite! Il vit à Pompadour (19).
En arpentant le cordon dunaire landais... pour l'entretenir, le "soigner", le consolider... il a fait d'étranges rencontres...
Ce travail de stabilisation des dunes a commencé il y a fort longtemps et, les palissades, avec la complicité du vent, du sable et de l'océan, sont devenues sculptures... La sensibilité d'Eric et de son objectif ont saisi "l'invisible" ... tout ce que "nous regardons, sans voir"!
C'est une balade en poésie et enchantement... "tout en étant un témoignage patrimonial de ces travaux dunaires, lesquels restent un grand enjeu environnemental".
Nous pourrons découvrir ces photos exposées à la Gare, mais aussi découvrir son livre, ouvrage insolite fait de merveilleuses images, de textes et autres pensées d'auteurs qui l'accompagnent!

Créateur d'émotions en bois tourné, sculpté
Patrick GUERIN
Né en 1949 à Saintes (17), Patrick vit et travaille dans les Landes à Sainte Eulalie en Born (40).
Au seuil de l'atelier de Patrick Guérin, des rondins, des souches, de longues sections de troncs, des grosses branches, il me les présente: houx, cerisier, cyprès, chêne, platane.. On rentre dans l'atelier... des airs de jazz...un bouquet de gouges, de racloirs et de râpes... une multitude d'autres outils, sur une étagère... des bocaux remplis de pigments de toutes les couleurs, des pots de cire, en bonne place dans l'atelier, le tour à bois... un peu partout.. des copeaux tout blancs et un subtil parfum de figuier... et sur l'établi quelques pièces en cours.. toutes blanches elles aussi... c'est "le" figuier!
Je suis saisie par la délicatesse et la subtilité que les mains poètes et virtuoses de Patrick créent en connivence avec l'esprit et l'âme de ce bois immaculé!
Nous bavardons... Patrick évoque sobrement mais passionnément les bois qui l'inspirent.. et qui l'accompagnent quand il les "travaille".. laissant toujours toute la place aux "hasards" des textures, des couleurs, aux surprises et autres "inattendus" proposés par cette si noble matière!
Ce créateur tout en émotions douces et sibyllines, nous donne à voir des œuvres singulières, harmonieuses, parfois énigmatiques, qui, de fait, sont un virtuose et saisissant hommage à la Nature.
Né en 1949 à Saintes (17), Patrick vit et travaille dans les Landes à Sainte Eulalie en Born (40).
Au seuil de l'atelier de Patrick Guérin, des rondins, des souches, de longues sections de troncs, des grosses branches, il me les présente: houx, cerisier, cyprès, chêne, platane.. On rentre dans l'atelier... des airs de jazz...un bouquet de gouges, de racloirs et de râpes... une multitude d'autres outils, sur une étagère... des bocaux remplis de pigments de toutes les couleurs, des pots de cire, en bonne place dans l'atelier, le tour à bois... un peu partout.. des copeaux tout blancs et un subtil parfum de figuier... et sur l'établi quelques pièces en cours.. toutes blanches elles aussi... c'est "le" figuier!
Je suis saisie par la délicatesse et la subtilité que les mains poètes et virtuoses de Patrick créent en connivence avec l'esprit et l'âme de ce bois immaculé!
Nous bavardons... Patrick évoque sobrement mais passionnément les bois qui l'inspirent.. et qui l'accompagnent quand il les "travaille".. laissant toujours toute la place aux "hasards" des textures, des couleurs, aux surprises et autres "inattendus" proposés par cette si noble matière!
Ce créateur tout en émotions douces et sibyllines, nous donne à voir des œuvres singulières, harmonieuses, parfois énigmatiques, qui, de fait, sont un virtuose et saisissant hommage à la Nature.

Les Pontons
DBN
"Dans les Pontons il y a la permanence du motif central, représentation symbolique d’un signe fixe que DBN a érigé en trait d'union entre deux mondes: un espace sans terre ni mer, ni ciel, sans horizon qui oblige l'œil à s'amarrer au centre de la toile .
Dès lors, le regard des voyageurs statiques que nous sommes, pénètre dans un univers volontairement sombre rouge et noir, rehaussé de blanc et parfois de touches bleu ciel. Car ici, le ponton est une escale où se réfugient des statues sur leur piédestal. Des êtres échoués, meurtris mais pansés, qui enracinés reprennent pied, font une pause.
DBN à travers son art mélancolique , nous donne à voir sortis de ses limbes obscures , des êtres fragiles , sensuels, animés d'une force de vie que l'absurde n ’effraye, ni ne ridiculise, affirmant ici une humanité bienveillante, en attente." D.G.B
Peintre, plasticien, illustrateur, concepteur, graphiste, responsable de Studio de création, et certainement poète.......... Dominique Bedout-Nicolaï est né en 1963 à Bordeaux, où il vit et travaille.
"Dans les Pontons il y a la permanence du motif central, représentation symbolique d’un signe fixe que DBN a érigé en trait d'union entre deux mondes: un espace sans terre ni mer, ni ciel, sans horizon qui oblige l'œil à s'amarrer au centre de la toile .
Dès lors, le regard des voyageurs statiques que nous sommes, pénètre dans un univers volontairement sombre rouge et noir, rehaussé de blanc et parfois de touches bleu ciel. Car ici, le ponton est une escale où se réfugient des statues sur leur piédestal. Des êtres échoués, meurtris mais pansés, qui enracinés reprennent pied, font une pause.
DBN à travers son art mélancolique , nous donne à voir sortis de ses limbes obscures , des êtres fragiles , sensuels, animés d'une force de vie que l'absurde n ’effraye, ni ne ridiculise, affirmant ici une humanité bienveillante, en attente." D.G.B
Peintre, plasticien, illustrateur, concepteur, graphiste, responsable de Studio de création, et certainement poète.......... Dominique Bedout-Nicolaï est né en 1963 à Bordeaux, où il vit et travaille.

Insolite Balade
Yannick BACON
peintre
Né à Auch en 1975, Yannick grandit à Vic Fezensac (32).
Très tôt, ce fils d'agriculteur accompagne son père au arènes. Du haut de ses 3 ans, il fréquente la corrida, les taureaux, les habits de lumière, le goût de la poussière, l'odeur du sang et son âcreté..
Dans la cour de la ferme il "joue" à la corrida avec des vieux pneus en guise d'arènes, des pommes de terre, plus tard des poules (!) en guise de taureaux ... et des aiguilles à tricoter chipées à sa grand mère sont les banderilles! Il quitte à 18 ans le Gers pour les Landes.
Il y a 3 ans, je le rencontrai chez lui à Capbreton et, dés mon entrée dans son atelier, je fus saisie par sa peinture. Peinture narrative, métaphorique, un tantinet surréaliste pour certains tableaux, parfois sarcastique, souvent tendre... Son œuvre est celle du détail minutieux et de la lumière.
C'est avec la pugnacité et toute la gourmande faconde des gascons qu'il dit en peinture son histoire, sa terre.
C'est dans une magistrale polychromie minutieuse qu'il nous livre son enfance, ses jeux, ses rêves, ses rages, ses tendresses et parfois ses défis!
Depuis notre rencontre, il a passé bien des caps... sa peinture s'est affirmée, sa route a croisé Nicole Gogat, galeriste, et aujourd'hui il "fréquente" les salons européens d'art contemporain et il vit de sa peinture.
Nous sommes très heureux d'accueillir Yannick à la Gare et de vous inviter à découvrir ce très bel artiste de nos "Lanas de Gasconha"!
peintre
Né à Auch en 1975, Yannick grandit à Vic Fezensac (32).
Très tôt, ce fils d'agriculteur accompagne son père au arènes. Du haut de ses 3 ans, il fréquente la corrida, les taureaux, les habits de lumière, le goût de la poussière, l'odeur du sang et son âcreté..
Dans la cour de la ferme il "joue" à la corrida avec des vieux pneus en guise d'arènes, des pommes de terre, plus tard des poules (!) en guise de taureaux ... et des aiguilles à tricoter chipées à sa grand mère sont les banderilles! Il quitte à 18 ans le Gers pour les Landes.
Il y a 3 ans, je le rencontrai chez lui à Capbreton et, dés mon entrée dans son atelier, je fus saisie par sa peinture. Peinture narrative, métaphorique, un tantinet surréaliste pour certains tableaux, parfois sarcastique, souvent tendre... Son œuvre est celle du détail minutieux et de la lumière.
C'est avec la pugnacité et toute la gourmande faconde des gascons qu'il dit en peinture son histoire, sa terre.
C'est dans une magistrale polychromie minutieuse qu'il nous livre son enfance, ses jeux, ses rêves, ses rages, ses tendresses et parfois ses défis!
Depuis notre rencontre, il a passé bien des caps... sa peinture s'est affirmée, sa route a croisé Nicole Gogat, galeriste, et aujourd'hui il "fréquente" les salons européens d'art contemporain et il vit de sa peinture.
Nous sommes très heureux d'accueillir Yannick à la Gare et de vous inviter à découvrir ce très bel artiste de nos "Lanas de Gasconha"!
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